1. Les sacs poubelle. « Tiens aujourd’hui j’ai envie de sortir les poubelles!.. Chouette, il y en a justement une qui déborde dans la cuisine! Quelle chance! Oh, génial, il y en a aussi une dans la salle de bain! ». Non, c’est toujours au dernier moment qu’on y pense, quand on est déjà en retard pour partir, mais aujourd’hui, ça pue vraiment trop, il est temps d’agir. Et hop! On se dépêche en pensant que ce sera « vite fait, bien fait ». Mais crac! Tout dégouline par terre. Tout ça parce qu’on s’est dit devant le rayon ménage du supermarché : »A quoi ça sert d’acheter des sacs ultra résistants à 4.89€, alors qu’il y a presque les mêmes à 1.95€? » Ben, à ça, justement. A ne pas se sentir désespérément seule, les pieds couverts de détritus, le matin avant de partir au travail.
2. La poêle à frire. Miracle! Vous avez réussi à aller chez le poissonnier pour faire manger (enfin!) du poisson frais à vos enfants. Du poisson qui n’a pas la forme d’un rectangle et qui n’est pas pané. (Petite parenthèse pour faire découvrir à ceux qui ne le connaissent pas Pascal Parisot, ce chanteur trop drôle, qui fait l’éloge du poisson pas-né) Et là, c’est le drame. Votre poêle bon marché se met à coller, à coller, à coller à tel point, qu’après vous être échinée sans succès à conserver la forme originelle de votre poisson, vous jetez, énervée, des miettes de poisson brûlé dans l’assiette de votre enfant qui après trois petites bouchées dit d’un air dégoûté: « Maman, j’en veux plus, c’est pas bon. » ou pour les plus poli: « Maman, j’ai pas faim ».
En 10, pour rester dans le ton des sacs poubelles et du papier toilette: les couches! Parceq eu le paquet de couches deux fois moins cher, mais qui dure trois fois moins de temps, au final, ça le fait pas!
En effet, bien vu!…
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